Sommaire
Il existe en France et dans certains autres pays des médicaments fabriqués à partir de cannabis qui sont autorisés et prescrits dans le cadre du soulagement des troubles d’appétit et effets secondaires de la chimio. Nous vous proposons de découvrir dans cet article les propriétés thérapeutiques du cannabis qui en font un produit autorisé dans le traitement de certains maux en médecine.
Stimulation de l’appétit et prévention de l’épilepsie
Contre le manque d’appétit que ressentent parfois les personnes atteintes du Sida, un traitement à base de psychotrope issu du cannabis a été développé et autorisé en France : il s’agit du dronabidol. Ce traitement contient en réalité des molécules qui suscitent l’appétit chez le consommateur en se fixant sur les récepteurs cannabinoïdes. Par ailleurs, il a été démontré que le cbd cannes efficace dans la prévention des crises d’épilepsies en raison de sa propriété anti convulsive.
Atténuation des effets secondaires de la chimio
Comme mentionné plus haut, le dronabidol n’a pas que des propriétés anorexiques. Ce produit possède selon certaines études des vertus d’atténuation ou de limitation des effets secondaires liés à la chimiothérapie qui est un traitement contre le cancer. Parmi ces effets indésirables l’on note surtout les vomissements et les nausées. Cela est possible grâce à la liaison du delta-9-tétrahydrocannabinol aux récepteurs cannabinoïdes CB1.
Lutte contre les douleurs chroniques
Le cannabidiol ou CBD possède encore de nombreux vertus thérapeutiques qui continuent d’être prouvées chaque jour. Ainsi par exemple, dans son rapport de janvier 2017 sur les utilisations thérapeutiques du cannabis, l’académie nationale de science, d’ingénierie et de médecine des USA démontre superficiellement certaines vertus du cannabis. De ce rapport en réalité il ressort qu’il est possible d’atténuer les douleurs chroniques avec le CBD.
Lutte contre la dépression
Une autre vertu thérapeutique du cannabis est son potentiel dans la stabilisation de l’humeur et la lutte contre la dépression. Certes ces affirmations n’ont pas encore été confirmées chez l’humain, mais il y a des chances que cela soit vérifié avec les études de l’université de Buffalo en 2015.